Nom: Morzac
Prénom: Keilhula
Âge: 20 ans
Physique: Grande, brune, adepte d'un style sombre et gothique. Elle a des yeux légèrement en amande et le plus sombre possible, aggrémentés de longs cils noirs. Elle a une constitution assez faible, et bien que ses bras soient musclés pour manier l'épée, cela ne se voit pas vraiment.
Mental: Elle fait partie du groupe des discrets, sans être timide. Un tantinet désagréable avec les gens qui l'entourent, car d'une nature solitaire.
Autre: Guerrière confirmée, manie deux lames acérées. Elle n'aime pas la magie et préfère se lancer à corps perdu dans les ennemis, comem une furie avide de sang. Elle n'est cependant pas totalement ignorante et pratique quelques sorts de soins mineurs lui permettant de rester en vie.
Histoire: Keilhula n'a jamais connu ses parents, n'a jamais eu de frère ou de soeur à sa connaissance. Elle a grandit dans un orphelinat à l'extérieur d'une ville pauvre et excentrée de tout (on la nommait Kalm). Renfermée sur elle même, elle s'est toujours défendu des approches des autres avec violence. D'abord usant de simples bâtons, elle se fit remarquer et un vieux guerrier de la ville qui jouait au père noël deux ou trois fois par ans. Cet homme qui devait approcher de la soixantaine lui apprit les bases du combat à deux épées. Ce fut le seul côté de Keilhula qu'il réussit à apprivoiser, car elle ne lui fit montre d'aucun sentiment autre que le respect dû à son maitre. Finalement, à 14 ans, elle s'en alla et perfectionna son art sur tout ce qui passait à sa portée... Après avoir combattu de nombreux monstres en manquant maintes fois la mort grâce à la chance, elle rejoignit à l'âge de 17 ans la ville de Midgar, se rapprochant ainsi de l'orphelinat de son enfance. Vivant dans un appartement minable près des réacteurs désactivés, Keilhula rumine une soif de vengeance. Contre qui ou quoi ? Elle ne s'en rapelle plus. Un an de sa vie lui a échappé, tout ce qui en ressort est cette envie de vengeance, cette soif de meurtre contre une silhouette floue et sombre hantant ses cauchemards.